Bergerac
Vivante, dynamique, Bergerac entre dans le XXIème siècle forte de la richesse d’un environnement hautement préservé et des héritages d’une histoire urbaine bientôt millénaire.
Baignée par la rivière Dordogne, qu’auréole un récent classement UNESCO au patrimoine mondial et labellisée Ville d’Art et d’Histoire, Bergerac se tourne résolument et sereinement vers l’avenir.
Bergerac : une porte vers l’Europe
Ayant dû sa fortune à l’ouverture que lui a donnée la Dordogne sur l’Atlantique et ses horizons vers lesquels elle expédiait les vins de son grand vignoble, elle demeure la petite capitale de ce Périgord méridional, heureux pays de terres à blé, de vignes et de vergers à l’histoire modelée par d’aussi anciennes qu’étroites relations de négoce avec les îles Britanniques, les Pays-Bas, la Baltique.
Ancrée dans cette tradition d’échanges léguée par son passé de ville de grand commerce, son aéroport a pris aujourd’hui le relais de son ancien port fluvial pour qu’elle reste l’une des portes par lesquelles les rieurs et fertiles terroirs aquitains s’ouvrent à l’espace européen.
Une Ville étape
Pour bien des vacanciers, Bergerac est également toujours cette ville étape sur le chemin de St Jacques de Compostelle et vers la route des Pyrénées qui mène au soleil de l’Espagne.
Fleurie, pimpante, charmante, évoquant la douceur de vivre, le touriste y découvre l’équilibre que l’on sait y conserver entre tradition et modernité afin d’allier conservation du patrimoine, développement économique, investissements dans les activités de demain.
Un personnage emblématique
Enfin, avant d’aller à sa rencontre, on sait que Bergerac est la patrie de Cyrano, de cet immense personnage héroïque qui, tous les soirs, depuis qu’Edmond Rostand en fit un fils de la Ville, par le monde et dans toutes les langues, ne cesse d’émouvoir, notamment quand, devant Arras, dans la fureur de la guerre où il fuit son impossible amour pour Roxane, il se souvient « de la verte douceur des soirs sur la Dordogne ».
Peu de villes ont aussi bel ambassadeur.
